Situé chronologiquement avant les faits racontés dans The hard goodbye, J'ai tué pour elle est l'épisode de Sin City qui colle de plus près à la tradition du roman hard-boiled : jolies filles, belles voitures, corruption, sensation de danger imminent... Au centre du récit, Ava Lord, la belle et terrible mante religieuse, tue et dévore tous ceux qui s'approchent trop d'elle. En toile de fond - toujours enveloppée par une atmosphère violente et oppressante - Basin City, la ville du péché, ses bas fonds et ses beaux quartiers, ses criminels et ses flics pourris.
Un gars paumé recherche un peu de chaleur dans les bras d'une fille à la beauté renver-sante, une petite frappe est à la recherche d'un coup tordu à faire, des pauvres types ne font que se retrouver au mauvais moment au mauvais endroit, pendant qu'un grand gaillard marche silencieux sous la neige.
Onze histoires courtes où l'on retrouve des personnages bien connus : Marv, Miho ou le tandem Klump & Schlubb. Tueurs, règlements de comptes et femmes fatales sont, comme à l'accoutumée, au rendez-vous.
Après le jaune de Cet enfant de salaud, Frank Miller ajoute des petites touches de cou-leur à l'univers en noir et blanc de Sin City. du bleu, du rose, du rouge soulignent dans ce volume, caractères et situations.
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publication du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécialement dessinées par Frank Miller.
Sin City, comme toutes les villes où règne le crime et la violence, a une pègre et cette pègre a un parrain, Don Giacco Magliozzi. Comme tous ses semblables, il a un code d'honneur et des valeurs, la famille par-dessus tout, avec lesquels il ne badine pas du tout. Un soir, à la sortie d'un restaurant, un petit truand flingue un indic' et sa copine, qui n'est autre que la nièce de Magliozzi. Le malheureux petit truand va devoir faire face à la vengeance du parrain. Une traque impitoyable démarre aussitôt. mais les choses se compliquent quand une balle perdue tue une fille de la Vieille Ville. Miho, la terrible petite tueuse, reprend du service. la pègre de Sin City va en faire les frais.
Valeurs familiales est le seul tome de la série Sin City a ne pas avoir été préalablement publié sous forme de comics.
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publi-cation du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécia-lement dessinées par Frank Miller.
Couverture cartonnée, dos rond, tranche-fil rouge. bref : un collector !
Ancien Navy Seal, Wallace gagne maintenant sa vie comme dessinateur de presse. Un soir, alors qu'il se balade seul en bord de mer, il aperçoit une jeune fille se jeter du haut d'une falaise. Sans hésiter, il plonge à son tour, parvient à la sortir de l'eau et la sauver. Entre Wallace et la jeune fille, Esther, nait d'emblée une forte sympathie qui ne tarde pas à se transformer en attirance réciproque ; ensemble, ils sont heureux et décident d'aller boire un verre dans un bar : Wallace raconte son passé militaire et Esther les débuts de sa carrière d'actrice. Mais, lors qu'il est sur le point d'embrasser Esther, Wallace perd connaissance. À son réveil, il comprend avoir été drogué. Esther a disparu et Wallace décide de la retrouver à tout prix...
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publication du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécialement dessinées par Frank Miller. Couverture cartonné, dos rond, tranche-fil rouge. un collector !
Hartigan, vieux flic brisé par le sénateur Roark, est libéré après huit ans de prison et se bat jusqu'à la mort pour sauver Nancy Callahan des griffes d'un violeur et tueur en série, qui n'est rien d'autre que le fils du tout puissant Roark. Corruption, dépravation mais aussi exaltation du sacrifice, sont au centre de Cet enfant de salaud, où Miller revient aux registres narratifs de The Hard Goodbye tout en déployant un effort particulier dans la construction de la psychologie du personnage. Pour la première fois, l'auteur utilise la couleur dans une série jusqu'là rigoureusement en noir en blanc.
À l'occasion du vingtième anniversaire de la publication du premier épisode de Sin City, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, spécialement dessinées par Frank Miller. Couverture carton-né, dos rond, tranche-fil rouge. tout pour en faire un collector.
Le protagoniste de Le grand carnage est à nouveau Dwight Mc Carthy, le person-nage central de J'ai tué pour elle. Le récit, toujours un polar, tourne autour d'un meurtre et d'un cadavre dont il faut à tout prix se débarrasser. Le fil conducteur est celui d'une course poursuite qui se déroule à un rythme endiablé, ponctuée d'affron-tements et de véritables... carnages. En toile de fond, défilent les quartiers de Basin City, dont on commence à apercevoir la géographie, et en particulier la "vieille ville" où les prostituées font la loi. Miho, la prostituée-ninja, y fait sa première apparition : véritable machine à tuer, nous la croiserons à nouveau dans les épisodes suivants.
Sans doute l'épisode le plus violent et sanguinaire de la saga de Sin City, remar-quable pour son découpage sans bavure, qui insuffle au récit un exceptionnel dyna-misme.
Sorti pour la première fois en France en 1994 (un an après sa sortie en album aux États-Unis), le premier volume de la saga de la Ville du péché est considéré comme une des oeuvres majeures de Frank Miller, qui a marqué l'histoire de la bande dessi-née. Politiciens véreux, prostituées, femmes fatales, voyous et pauvres types se croi-sent dans les pages de Sin City, composant une fresque cynique et parfois ironique d'une société malade. Hybridation entre roman noir, univers des super-héros et codes du manga, Sin City surprend encore aujourd'hui par son scénario admirable-ment construit et l'élégance puissante du noir et blanc de Miller.
À l'occasion du vingtième anniversaire de sa première sortie, Rackham réédite l'intégralité de la série dans un nouveau format et avec de nouvelles couvertures, en com-mençant par ce premier volet qui va prendre désormais le titre de The hard goodbye que Miller lui a attribué en hommage à Raymond Chandler.
« Nous sommes en 490 avant J.C. Poséidon est mal luné.
Il le fait savoir à quelques visiteurs indésirables. Un petit groupe de Perses. Une centaine d'hommes, pas plus. Venus sonder nos défenses... Ou peut-être assassiner notre chef. » Ainsi débute la célèbre bataille de Marathon, première victoire des grecs sur l'armée Perse. Et première pierre du nouveau récit de Frank Miller, qui revient sur cette période historique après son ouvrage 300, en reprenant les moments marquants des guerres menées par le Roi des rois, Darius, dont l'empire s'étendait, durant plus de deux siècles, de l'Asie Centrale au golfe persique et à la mer Égée, et ses successeurs, Xerxès en particulier, face à la Grèce.
Avec Xerxès, Frank Miller s'éloigne ponctuellement de la narration comics pour rejoindre la puissance évocatrice digne de Philippe Druillet.
Matt Murdock en est sûr, Elektra est morte. Alors, pourquoi est-il sans cesse assailli de cauchemars et de prémonitions terribles dans lesquelles son ancien amour est non seulement vivante, mais on ne peut plus active en tant que criminelle ? Daredevil ne trouvera pas le sommeil avant d'en avoir le coeur net. Peu d'auteurs ont autant laissé leur marque sur un personnage que Frank Miller sur ceux de Daredevil et Elektra.
En 1990, Miller rend la vie au grand amour de Matt Murdock dans une superbe saga, publiée en format Graphic Novel. Nous la présentons ici dans le même format géant que X-Men : Genèse Mutante ou Magnéto : le Testament, donnant ainsi toute la place au magnifique trait de Miller.
Un samouraï tombé en disgrâce, le Ronin, obtient une chance de venger son maître lorsqu'il est transporté du 13e siècle au 21e dans une New York futuriste et rongée par la corruption. Là, il y retrouve son ennemi juré, également réincarné, le démon Agat.
La vieille ville de Sin City est une forteresse bien gardée dont les belles de nuit ont fait leur quartier général. A la différence de bien des quartiers chauds connus à travers le monde, ici il n'y a pas besoin de souteneurs. Les filles sont armées jusqu'aux dents et ce sont elles qui font régner "la loi". Alors quand un flic ripou armé de mauvaises intentions pénètre dans la vieille ville pour malmener l'une d'elles, il ne sait pas qu'il va y perdre la tête et déclencher un grand carnage ! L'épisode permet de retrouver Dwight (J'ai tué pour elle) et surtout la "prostituée-acrobate-Ninja", Miho. Ceux qui ne possèdent pas encore la série Sin City en entier vont être ravis : avec la publication du Art Book et cette réédition, la série est maintenant entièrement disponible en version française, aux éditions Rackham, avec une charte graphique identique, approuvée par Frank Miller, pour toute la collection. En attendant un nouvel épisode à paraître prochainement.
Une menace de mort pèse sur Empire City. Le Fixeur, aidé de Cat Burglar, a jusqu'à l'aube pour sauver la ville. Ils s'attaquent directement aux factions terroristes en portant un combat violent, sans concession, jusque dans leur camp. Réponse hargneuse au 11 septembre et malgré les positions radicales de son auteur, Terreur Sainte se garde de condamner l'islamisme pour ne foudroyer que le terrorisme.
Depuis des années nous rêvions de réunir toutes les 1336 planches de Sin City, le chef-d'oeuvre de Frank Miller, dans un seul et unique recueil. Il nous a fallu beaucoup de patience et le recours à toute notre expertise technique. C'est maintenant chose faite. Les sept épisodes de la saga de la Ville du péché - de The Hard Goodbye à L'enfer en retour - avec ses malfrats, ses filles de joie, ses politiciens véreux, ses ambiances glauques et son ultra-violence sont édités dans un épais volume, dans la tradition des « Omnibus », qui fera le bonheur des fans, des collectionneurs et de tous ceux qui ont envie d'offrir un super cadeau pour les fêtes de fin d'année.
Le Ronin, un samourai sans allégeance ni but, tue Agat, le démon et venge son honneur. Huit cents ans plus tard, Agat se rematérialise dans un New-York post-apocalyptique, souillé de misère et de désespoir, terrorisé par les gangs paramilitaires et les hordes de drogués, dévoré par la gangrène informatique du tentaculaire domaine Aquarius où vivent Virgo, l'intelligence artificielle, Casey, la responsable de la sécurité, et Billy, l'enfant-tronc aux prothèses cybernétiques. Car si Agat le démon est revenu, le Ronin n'est pas loin. Une course poursuite frénétique, dans un New-York d'apocalypse dominé par les ruines de Grand Station, peuplé de bandes sado-maso et ultraviolentes et infesté de clochards aux scrofules radioactives, s'engage alors entre les deux adversaires. Mais le Ronin, nu et sans arme, découvre un univers qui n'a plus rien à voir avec le Japon médiéval où il a vécu jusqu'alors.
Criminals have always called the shots in Sin City, whether bootleggers, gamblers or politicians. But ever since the first dame set up shop in Old Town, those side streets have been run by the women who walk the night. It's been a delicate truce, but now there's a messy body and the mob's looking to reclaim those streets.
It's one of those hot nights, dry and still. Dwight's thinking of all the ways he has screwed up and what he'd give for one clear chance to wipe the slate clean, to dig his way out of the numb grey hell that is his life. And then Ava calls.
Family Values is a milestone among Miller's work, allowing him enough room to tell this classic story of grit and revenge exactly the way he wanted to. With deadly Miho running on roller-blades, Dwight running on adrenaline, and the Sin City mob on clean up detail, this yarn from the town without pity is not to be missed.
Just one hour to go. Hartigan's polishing his badge and working himself up to kissing it goodbye. But, with one hour left to go, he gets word about that one loose end he hasn't tied up: a young girl who's helpless in the hands of a drooling lunatic. Just one hour to go... and Hartigan's gonna go out with a bang.
It is the distant past. A great lord of feudal Japan is struck down by an entity of pure evil. A young warrior, sworn to vengeance, becomes a masterless samurai--a ronin--trapped in an eternal struggle with the demon who killed his master. It is the near future. A great corporation in the urban jungle of New York City is preparing to unleash a deadly new technology. A childlike telepath and a tough-as-nails security commander are the only people who stand in its way. When these two worlds collide, dreams and reality will blur together for a final, apocalyptic battle--and at the heart of the chaos, a lone swordsman will face the ultimate test of his fealty. A thrilling, seamless, utterly unique blend of East and West, past and future, magic and science. This edition collects the original six-issue miniseries from the legendary Frank Miller and features an introduction from DC's former president and publisher Jenette Kahn, as well as a special section of preliminary and promotional art from Miller.
Un jour, matt murdock sauve la vie d'un vieillard qui allait se faire écraser par un camion.
Exposé aux produits radioactifs que contenait le véhicule, il perd la vue mais ses autres sens se développent et il hérite en prime d'un sens radar. suite au meurtre de son père, il décide de combattre le crime sous le costume de daredevil ! ce deuxième volume de daredevil : l'intégrale met encore à l'honneur frank miller qui, en 1982, a marqué de son empreinte la série du diable rouge et l'histoire de la bande dessinée américaine.
Il vit dans un monde de ténèbres empli de bruit et de fureur que nul autre ne peut percevoir.
S'il est aveugle, le jeune avocat matthew "matt" murdock est aussi doté de sens plus développés que la normale et d'un sens radar qui lui signale tout obstacle. la nuit, il hante les rues de new york sous le costume de daredevil, l'homme sans peur ! le personnage de daredevil apparaît pour la première fois en 1964 sous le crayon de stan lee, le fondateur de l'univers marvel, et du dessinateur bill everett.
Amateur de "super-héros avec des super-problèmes", lee imagine un justicier qui perd brutalement la vue après avoir été exposé à des produits radioactifs. dans le même temps, l'accident augmente considérablement l'acuité de ses autres sens et le dote d'un sens radar. très vite, daredevil devient un personnage emblématique de l'univers marvel, même si le titre n'atteint jamais les records de ventes de fantastic four ou amazing spider-man.
Après le bouleversant récit de la mort d'elektra, il ne restait à miller qu'à conclure sa longue prestation sur la série par un autre coup de théâtre tout aussi renversant. on retrouve la rutila grecque dans la série de l'homme sans peur, d'abord dans trois épisodes indépendants, puis dans le chef-d'oeuvre absolu renaissance. retrouvez dans ce troisième volume de daredevil : l'intégrale les derniers chapitres du premier long passage de miller sur la série (des numéros 185 à 191), deux épisodes parus quelques mois plus tard dont il cosigne l'intrigue, et un autre consacré à matt murdock, mis en images par john buscema.