Quand Boris Vian signe un polar.Ce soir, Francis Deacon enfile des collants, rehausse ses cils de mascara et souligne ses yeux de noir. Mais n'allez pas croire qu'il soit de ce bord-là ! C'est que ce soir, Gaya, son amie - et parfois amante - organise une soirée costumée. L'occasion pour elle de s'envoyer au 7e ciel à coup de piquouzes certainement pas fournies sur ordonnance. Francis, il déteste les drogués. Alors quand il découvre que sa Gaya elle a pris l'autoroute de la défonce sur conseil du futur mari (un futur mari ? Francis était pas au courant !) et que ce mari, il a pas l'air particulièrement tourné vers les charmes délicats de la féminité, il se dit qu'il y a quelque chose de l'espèce de l'anguille sous roche. Quand il sort pas pour un bal costumé, il fait pas dans la dentelle Francis. Alors en démêlant le noeud de l'affaire Gaya, il se retrouve vite avec la gueule fracassée et 10 000 dollars de dettes. Heureusement, il a son frangin Ritchie, médecin de métier. Avec lui, s'il s'agit de trancher entre le vice et le serment d'Hippocrate, il réfléchit pas. Surtout si c'est pour sortir le petit frère de la panade.
Déluge d'humour, d'hyper violence et de sexe dans Elles se rendent pas compte, troisième roman de la série des romans noirs de Boris Vian signés sous le pseudonyme Vernon Sullivan.
En 1974, Mohammed Ali a la chance incroyable de pouvoir récupérer son titre de champion du monde contre le tenant du titre : George Foreman. Un combat de boxe va les opposer au Zaïre. Organisé par le promoteur Don King et payé par le dictateur Mobutu Sese Seko, ce combat a pour but avoué de promouvoir la zaïrianisation (décolonisation culturelle). Sur l'affiche, on pouvait lire : "Un cadeau du président Mobutu au peuple zaïrois et un honneur pour l'homme noir." Ce combat, d'abord prévu le 25 septembre, se déroulera finalement le 30 octobre. Surnommé par la population "The Rumble in the Jungle", il doit se dérouler en quinze rounds maximum. Foreman est un véritable monstre, il vient de vaincre par K.O. les deux seuls adversaires à avoir battu Ali. Mais ce dernier compte bien récupérer son titre de champion du monde. De plus, le peuple zaïrois le soutient, ce qui démoralise profondément son adversaire. Il n'empêche que de son propre aveu, Ali est terrifié à l'idée de l'affronter sur le ring. Fin stratège, il sait qu'il ne pourra vaincre Foreman qu'en l'épuisant. Il encaissera donc des coups pendant huit rounds avant de mettre K.O. le tenant du titre, déjouant tous les pronostics !
Abbas, photojournaliste qui se trouve sur place, va immortaliser cette rencontre incroyable. Il gardera les clichés pour lui pendant 36 ans !
Dans ce livre rare, véritable croisement entre le documentaire, le photoreportage et le roman graphique, ces photos se révèlent d'autant plus percutantes dans leur contexte. Les auteurs viennent combler les espaces entre les clichés, permettant de comprendre ce qui y est photographié et l'Histoire qu'ils renferment.
Bruce est un Agent de The Division qui a été activé suite à la propagation du virus à Washington. Le jour où Michael, un ami d'enfance, l'appelle pour le sauver d'une prise d'otages orchestrée par les Hyenas, Bruce est bien loin de s'imaginer que commence pour lui une chasse à l'homme sur les traces de John, autre meilleur ami de jeunesse qui a rejoint les Hyenas, et qui fera éclater au grand jour la vérité sur un souvenir les liant tous les trois.
La petite Madeleine Riffaud, née en 1924, vit heureuse avec son grand-père et ses parents instituteurs. Du moins jusqu'à ce que la Seconde Guerre mondiale ne sépare la famille, envoyant Madeleine, atteinte de tuberculose, dans un sanatorium. Sans doute le pire endroit possible pour que l'adolescente têtue réalise un projet fou et nécessaire : entrer dans la Résistance. Madeleine y parviendra pourtant, sous le nom de code "Rainer", devenant une actrice et un témoin privilégié de son temps. Un destin exceptionnel qu'elle raconte aujourd'hui dans une première trilogie qui l'est tout autant, nourrie des milliers de détails d'une mémoire qui n'a rien oublié...
Marcinelle, septembre 1943. L'occupant nazi vient d'interdire la parution de Spirou ! Le jeune Flup et ses amis sont effondrés, car tous les cinq font partie du club des ADS, les Amis de Spirou. Ensemble, ils vont créer un magazine de BD satirique anti-nazi, avec toute l'innocence d'enfants décidés à appliquer le code d'honneur de leur héros de BD préféré. Ce qui ne va parfois pas sans dangers. Des vrais dangers, de ceux dont on meurt...
S'inspirant de l'histoire réelle de jeunes lecteurs de Spirou morts pour la Résistance tout en explorant l'histoire de Jean Doisy, le créateur des ADS, premier rédacteur en chef de Spirou et lui-même résistant, Jean-David Morvan et David Evrard proposent une formidable et touchante série jeunesse pour l'Histoire de Spirou et celle de l'humanité tout court. « Spirou, ami partout toujours ! », comme le dit si bien la devise des ADS !
Lorsque Nävis parvient enfin à mettre la main sur le fuyard refusant de se présenter à sa convocation, il s'avère rapidement que ce dernier est suffisamment fortuné et possède les bonnes connexions pour réussir à s'en tirer sans condamnation. Nävis dépasse alors les limites de sa charge en se montrant plus agressive que nécessaire. Notre humaine préférée a de plus en plus de mal à supporter l'injustice.
Le destin hors du commun d'une résistante.
En 1972, la télévision affiche le portrait d'un vieil homme, recherché depuis la fin de la guerre : Klaus Barbie. En le voyant, Simone Lagrange, 42 ans, est d'abord interloquée, avant de voir ressurgir un douloureux passé. Cet homme, elle le reconnait. Ce vieil homme est son tortionnaire, celui qui l'a torturée, à Lyon, à partir du 6 juin 1944... Elle se souvient de la jeune fille qu'elle était, du basculement de la France vers le régime de Vichy, avant que la zone libre ne soit occupée. Elle se souvient de ses années de résistance, en tant qu'agent de liaison. Simone s'appelle alors Simy Kadosche, elle est juive et sait que sa vie et celles de ses proches sont en danger. La délation était monnaie-courante mais personne ne pouvait s'attendre à ce qu'ils soient dénoncés par quelqu'un de si proche. C'est là, au siège de la gestapo, qu'elle a croisé la route du chef de la section V : Le boucher de Lyon, Klaus Barbie.
Triptyque historique qui revient sur l'histoire d'une résistante française, déporté à Birkenau d'où elle reviendra après un parcours hallucinant, autant que sur le déroulement du procès historique de Barbie dont elle fût l'un des témoins clé. Simone raconte le parcours d'une femme dotée d'une volonté d'acier mais aussi de résilience. Un biopic bouleversant, qui sait décrire l'indicible à travers un langage visuel subtil - confirmant le talent des auteurs d'Irena - pour nous apprendre et nous émouvoir avec un coeur énorme.
L'aventure MAGNUM Photos vous emmène aux quatre coins du monde.L'agence Magnum Photos a été créée en 1947, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, alors que le photojournalisme était en plein essor. Ses quatre fondateurs ne sont autres que Henri Cartier-Bresson, Robert Capa, George Rodger et David Seymour qui, conscients de la force du médium photographique pour rendre compte des événements mondiaux, ont voulu permettre aux photographes de garder un contrôle total sur les droits de leurs photos. Plongez avec nous dans l'aventure Magnum Photos qui vous emmènera aux quatre coins du monde, et vivez l'expérience à travers l'objectif des plus grands photojournalistes du XXe siècle ! Magnum est une communauté de pensée, une qualité humaine en partage, une curiosité de ce qui se passe dans le monde, un respect de ce qui s'y passe et le désir de le transcrire visuellement. Henri Cartier-Bresson, cofondateur de l'agence Magnum Photos.
La vie du « Roi-Soleil » dans une intégrale lumineuse.Palais du Louvre, 1661. Le jeune Louis XIV est en deuil. Son parrain, le cardinal Mazarin, vient de mourir. Ses derniers mots, à l'adresse du roi : qu'il s'entoure des meilleurs et des plus fidèles conseillers, mais n'oublie jamais de « gouverner par lui-même ». Cet ultime conseil, le jeune et fringant monarque s'évertuera à le mettre en application dans toutes ses décisions. Son ambition : faire rayonner le royaume de France dans l'Europe entière. Sa grandeur doit s'imposer à tous les niveaux : économique, militaire, culturel et symbolique avec, pour remplacer le vieillissant Louvre, le majestueux château de Versailles...
En découvrant, flottant dans l'espace, 76 cadavres entassés dans un caisson à peine pressurisé pour passer un téléportail vers une vie meilleure qu'ils ne connaîtront jamais, Nävis est profondément marquée. Ce n'est pas la première fois que des malheureux tentent de quitter leur planète en guerre et finissent vaporisés. Nävis refuse de fermer les yeux et laisse parler toute son humanité.
1940, l'armée nazie a envahi la Pologne. À Varsovie, les Juifs de la ville ont été parqués dans le ghetto : un quartier entier entouré de murs. Quiconque tente de s'en échapper est abattu sans sommation ; les seuls qui peuvent y entrer sont les membres du département d'aide sociale. Parmi eux, Irena vient tous les jours apporter vivres et soutien à ceux qui sont enfermés dans cet enfer et qui souffrent de maladies et de malnutrition. Ici, tout le monde la connait, les enfants l'adorent. Car Irena est un modèle de courage : elle n'hésite pas à tenir tête aux gardiens, à faire toujours plus que ce qu'autorise l'occupant nazi. Le jour où, sur son lit de mort, une jeune mère lui confie la vie de son fils, Irena se met en tête de sortir clandestinement les orphelins du ghetto. Pour que l'innocence soit épargnée de la barbarie, elle doit être prête à risquer sa vie.
Décédée en 2008, déclarée Juste parmi les nations en 1965, Irena Sendlerowa, résistante et militante polonaise, fut l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre Mondiale, sauvant près de 2500 enfants juifs du ghetto de Varsovie. Et pourtant elle est oubliée des livres d'Histoire... C'est en lisant par hasard un article sur elle que Jean-David Morvan a eu le déclic : sa vie devait être racontée. Avec Séverine Tréfouël et David Evrard, il retrace sur trois albums le combat humaniste de cette « mère des enfants de l'Holocauste. » Porté par un dessin d'une grande sensibilité, Irena réussit le tour de force de parler sans lourdeur d'un sujet fort, poignant et profondément actuel... Toucher, émouvoir, parler d'hier pour raconter aujourd'hui...
Un surprenant émissaire informe l'ONU que des extraterrestres sont en route sur leur planète-vaisseau en forme de tore, le Dévoreur. Ceinturant notre planète, ils en absorberont la moindre ressource, puis la recracheront comme on le fait d'un noyau. Notre fin est inéluctable : leur supériorité technologique ne laisse aucun doute. Un soldat met en oeuvre tous les moyens imaginables pour riposter.
L'histoire vraie d'une héroïne oubliée.
1940, l'armée nazie a envahi la Pologne. À Varsovie, les Juifs de la ville ont été parqués dans le ghetto : un quartier entier entouré de murs. Quiconque tente de s'en échapper est abattu sans sommation ; les seuls qui peuvent y entrer sont les membres du département d'aide sociale. Parmi eux, Irena vient tous les jours apporter vivres et soutien à ceux qui sont enfermés dans cet enfer et qui souffrent de maladies et de malnutrition. Ici, tout le monde la connait, les enfants l'adorent. Car Irena est un modèle de courage : elle n'hésite pas à tenir tête aux gardiens, à faire toujours plus que ce qu'autorise l'occupant nazi. Le jour où, sur son lit de mort, une jeune mère lui confie la vie de son fils, Irena se met en tête de sortir clandestinement les orphelins du ghetto. Pour que l'innocence soit épargnée de la barbarie, elle doit être prête à risquer sa vie.
Décédée en 2008, déclarée Juste parmi les nations en 1965, Irena Sendlerowa, résistante et militante polonaise, fut l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre Mondiale, sauvant près de 2500 enfants juifs du ghetto de Varsovie. Et pourtant elle est oubliée des livres d'Histoire... C'est en lisant par hasard un article sur elle que Jean-David Morvan a eu le déclic : sa vie devait être racontée. Avec Séverine Tréfouël et David Evrard, il retrace sur trois albums le combat humaniste de cette « mère des enfants de l'Holocauste. » Porté par un dessin d'une grande sensibilité, Irena réussit le tour de force de parler sans lourdeur d'un sujet fort, poignant et profondément actuel... Toucher, émouvoir, parler d'hier pour raconter aujourd'hui...
Sillage est un convoi multiracial de vaisseaux spatiaux à la recherche de planètes à coloniser. Les Hottards, peuple du convoi, doivent absolument s'implanter quelque part. Sillage leur accorde une planète couverte de jungles et d'océans qui n'est habitée - selon ses critères - par aucune espèce intelligente. Mais le premier Hottard qui débarque tombe sur Nävis, une enfant sauvage d'une race jusqu'alors inconnue de Sillage : les Hommes?
L'histoire vraie d'une héroïne oubliée1947. Bien que l'Allemagne nazie soit tombée, le cauchemar pour les Juifs d'Europe n'est pas terminé. Persécutés par les communistes, abandonnés par les Alliés, leur route vers la terre promise d'Israël a encore des allures de long calvaire... Cette réalité, la jeune Oliwka la découvre brutalement lorsqu'on lui apprend qu'elle avait été confiée, encore bébé, à une famille adoptive pendant la guerre. Que sa véritable identité avait été changée pour échapper aux nazis. En réalité, elle s'appelle Astar Berkenbaum. Elle est juive. Et comme des milliers d'enfants, elle ne doit la vie sauve qu'à une femme : Irena Sendlerowa.Série poignante et d'utilité publique, Irena nous raconte le destin hors-norme de l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre mondiale. Ce troisième et dernier volume nous raconte la fin de son enfer en prison, mais aussi le début d'un autre combat : celui pour le salut de ses enfants au sortir de la guerre.
L'histoire vraie d'une héroïne oubliée.Décédée en 2008, déclarée Juste parmi les nations en 1965, Irena Sendlerowa, résistante et militante polonaise, fut l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre mondiale, sauvant près de 2500 enfants juifs du ghetto de Varsovie. Et pourtant elle est oubliée des livres d'Histoire... C'est en lisant par hasard un article sur elle que Jean-David Morvan a eu le déclic: sa vie devait être racontée. Avec Séverine Tréfouël et David Evrard, ils retracent le combat humaniste de cette «mère des enfants de l'Holocauste. »Porté par un dessin d'une grande sensibilité et pour la première fois dans une édition complète qui reprend tous les codes du roman graphique, Irena réussit le tour de force de parler sans lourdeur d'un sujet fort, poignant et profondément actuel... Toucher, émouvoir, parler d'hier pour raconter aujourd'hui...
L'héroïsme est le combat de tous.
1983, Jérusalem. Voilà 18 ans qu'Irena a été reconnue Juste parmi les nations par le peuple d'Israël. Pour autant, ce n'est qu'aujourd'hui qu'un arbre est planté en son honneur à Yad Vashem... Une reconnaissance tardive qui vient permettre à cette femme humble de continuer le récit de sa vie héroïque. Les derniers mots de son histoire sont dédiés au docteur Janusz Korczak qu'elle a connu, médecin et écrivain polonais qui a délibérément choisi d'accompagner les enfants de son orphelinat au camp de Treblinka...
Découvrez la conclusion émouvante de cette série poignante et d'utilité publique : le destin hors-norme de l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre mondiale. Ce cinquième volume est préfacé par Marek Halter.
Le combat continue...Nous sommes en 1983 à Yad Vashem, au mémorial de la Shoah à Jérusalem. Irena a enfin été autorisée par les autorités communistes Polonaises à venir planter son arbre dans l'allée des Justes parmi les nations. 18 ans après avoir été honorée. C'est ici qu'elle rencontre une jeune femme qu'elle a sauvée, et sa petite fille. Irena leur raconte son histoire, son retour de l'enfer de la torture en 1944, à Varsovie, la fin de la guerre... et le début d'un autre combat.Les auteurs poursuivent cette série poignante et d'utilité publique : le destin hors-norme de l'une des plus grandes héroïnes de la Seconde Guerre mondiale.
Alors que Nävis est sur la piste d'un de ces mystérieux métamorphes, celle-ci met fortuitement la main sur un dossier la concernant. Intriguée, elle décide de le dérober et de le cracker avec l'aide de Juliette. Ce dossier est un document d'archives récupéré sur le « Juniville 08 », vaisseau où vivait notre héroïne avant d'être enrôlée par Sillage. Qui est-elle vraiment et d'où vient-elle ? Cet épisode anniversaire nous le révèlera.
10 meurtres en 17 ans de méfaits.Dennis Rader est un tueur en série américain surnommé le BTK Killer pour « Bind, Torture and Kill » soit « Attacher, Torturer et Tuer », son modus operandi. Il l'a lui-même reconnu, il aimait torturer des animaux étant petit, une caractéristique que l'on retrouve régulièrement chez les tueurs en série. Rader est responsable de la mort de 10 personnes (dont 2 enfants), ses « projets » comme il les appelait. Il attendait les victimes dans leur maison et les séquestrait avant de les étrangler. S'il ne les violait pas, il a affirmé lors de son procès avoir agi pour répondre à des pulsions sexuelles. Son dernier crime date de 1991, mais il ne fut arrêté qu'en 2005, après avoir recommencé à envoyer des lettres anonymes aux médias et à la police pour se vanter de « son oeuvre ». Pourquoi ? Parce qu'il s'ennuyait... Étienne Jallieu obtient à grand peine l'autorisation d'aller l'interviewer dans sa prison : El Dorado Correctional Facility, au Kansas, où il est condamné à 10 peines de perpétuité consécutives. Leur entretien sera glaçant.
En avril 1944, à 19 ans Ginette Kolinka est déportée au camp d'extermination Auschwitz II-Birkenau.Elle n'en parle pas durant 50 ans, avant d'accepter d'être filmée pour la Shoah Foundation, que Steven Spielberg vient de créer.À la grande surprise de la septuagénaire, les souvenirs enfouis rejaillissent. Elle se lance à corps perdu dans le témoignage.En octobre 2020, à 95 ans, elle permet à Victor Matet et Jean-David Morvan de l'accompagner lors d'un de ses voyages de groupe en Pologne, à l'issue duquel elle décide de ne plus jamais revenir.Dans cet album bouleversant mis en images avec pudeur et puissance par Efa, Cesc et Roger, elle fait le point entre son premier et son dernier passage dans le plus grand cimetière du monde avec ce mélange unique de force, d'humour et d'espoir qui la caractérise.
La jeune Nävis a rejoint le convoi Sillage. En tant qu'unique représentante de la race humaine, elle est particulièrement sollicitée : les dirigeants du convoi lui proposent de devenir agent spécial. Elle doit aussi résister aux avances d'un consul qui nourrit de noirs desseins.
Avec une régularité de métronomes, les auteurs de cette série culte nous proposent un nouvel épisode passionnant de leur héroïne, Nävis, qui pourrait pour la première fois maîtriser le temps...
Sillage est confronté à sa première décision de convoi indépendant : doit-il accueillir en son sein deux représentants d'une espèce pourchassée par les troupes de choc de la Constituante et présentée comme l'une des pires menaces de tout l'univers ? Cette espèce serait capable de maîtriser le temps. Voilà un pouvoir dont Nävis et Bobo, qui traquent le voleur de l'ornosphère, auraient bien besoin.
TRI-JJ 68 est une planète sur laquelle Sillage ne s'est pas attardé. Mais quand le convoi repasse près de ce monde, tout a changé : en un temps record, une civilisation industrielle est apparue ! De quoi intriguer Sillage et Nävis, car les habitants de TRI-JJ 68 ressemblent étrangement à la race dont elle pensait être la seule représentante : les humains.