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Li
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Les petits voyageurs de l'art Tome 1 : la Joconde de Léonard de Vinci
Carbone, Moon Li
- Kennes editions
- Les Petits Voyageurs De L'art
- 22 Février 2023
- 9782380758528
Lucas et Jade ont hérité du pouvoir de leur mère : traverser les tableaux pour atterrir dans l'atelier de l'artiste. Quel pouvoir extraordinaire ! Encore faut-il pouvoir s'en servir. Et la tentation est immense surtout lorsqu'ils sont en visite scolaire au musée du Louvre ! Profitant d'une alarme providentielle, les enfants sautent dans le célèbre tableau de Léonard de Vinci. Les voici transportés en 1506 au Clos Lucé aux pieds de Lisa Gherardini... Passées la surprise et la présentation avec le célèbre peintre, les enfants vont devoir sauver l'oeuvre que Léonard voue à la destruction. Y parviendront-ils ?
Partez avec nos jeunes héros à la découverte du célèbre tableau de Mona Lisa ainsi que de l'univers incroyable et du génie de Léonard de Vinci. -
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À la fin du XVIIème siècle, la Compagnie des Indes orientales a étendu son emprise sur la moitié du globe et a laissé des empreintes sanglantes partout où elle rencontrait de la résistance.
Pourtant, en 1661, une force arrive au sud de l'île paradisiaque de Formose (le nom néerlandais de Taïwan).
Frederick Coyett, dernier gouverneur néerlandais de Taïwan, va faire face a vingt-cinq mille soldats chinois.
Face à lui de l'autre côté des lignes de bataille se trouve Koxinga, le jeune loyaliste Ming et fils d'un pirate qui finira par fonder son propre royaume à Taïwan.
Les esprits s'échauffent et le sang coule alors qu'une guerre pour les ressources se transforme en une lutte pour l'autodétermination et la libération de l'oppression. Des batailles épiques et une référence assumée à 300 ! -
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La Chine est en deuil ! Le grand timonier, Mao Zedong, est mort ! Désemparés, déboussolés, le peuple chinois est sous le choc. Que va devenir la révolution culturelle ? Alors que des jours sombres s'annoncent, un télégramme averti le peuple que la bande des 4 (Zhang Chunqiao, Wang Hongwen, Yao Wenyuan et Jiang Qing, épouse de Mao) , investigateur sous Mao de la révolution culturelle, est arrêtée ! Une ère nouvelle souffle sur la Chine. Le moment est venu pour Xiao Li d'entrer dans le parti... « Un parti pour lequel il faut donner sa vie, un parti qui doit primer sur l'intérêt propre, sur la famille sur les amis » comme le dit si bien son père...
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Ce livre chapitré en 7 parties, vues comme autant d'actes muets d'une pièce de théâtre, associe les systèmes narratifs du vaudeville à ceux du jeu de massacre en faisant montre d'une position toute féminine, si ce n'est féministe : on y assiste à la description clinique de situations de crise au sein de trois couples installés, avant que soit envisagée une solution radicale par chacune des protagonistes à l'encontre de leur compagnon. Alors que Mai-Li Bernard s'est faite spécialiste d'une approche minimaliste de l'illustration, ses recherches formelles provoquent ici un mélange de distanciation et de pertinence clinique. Chaque posture, geste, cadrage, devient ainsi porteur de sens et plonge le lecteur dans un état de concentration particulièrement impliquant, générant une empathie insoupçonnée pour un travail à l'apparente froideur esthétique. Mortelle Vinasse, premier projet long de Mai-Li Bernard, a été originellement publié en mai 2015 et a intégré la sélection du Festival d'Angoulême 2016. Le voici aujourd'hui réédité dans une version restaurée.
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Mishima ; ma mort est mon chef-d'oeuvre
Patrick Weber, Li-An
- Vents d'ouest
- Integra
- 9 Octobre 2019
- 9782749307572
« Ma mort est mon chef-d'oeuvre »Pour beaucoup, Yukio Mishima reste un mystère. Écrivain de génie, épris de tradition et de modernité, basculant de la création à la destruction, esthète de toutes les ambivalences et de toutes les controverses, il livre un regard sans précédent dans le paysage culturel japonais et mondial. Celle d'un homme qui a incarné à la fois toute la grandeur, les échecs et les contradictions du Japon de l'après-guerre. Un personnage fascinant qui achèvera son oeuvre de façon spectaculaire à travers un ultime acte : la mise en scène de sa propre mort.Avec Mishima, Patrick Weber raconte la vie de cet artiste flamboyant, s'inspirant en partie de son célèbre livre Confessions d'un Masque. Faisant appel au dessin tout en finesse de Li-An, il livre un roman graphique passionnant et subtil qui permet d'entrevoir une période cruciale de l'histoire du Japon contemporain.
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Qin opéra
Li Zhiwu, Xiaoyan Men
- Patayo
- Des Cases, Des Langues, Des Mondes
- 12 Novembre 2021
- 9782491277451
Issu d'une oeuvre graphique et littéraire, imaginée et réalisée durant quatre années par Li Zihwu et Men Xiaoyan, ce long travail de création n'a encore jamais été publié dans le monde. Ce récit illustré sur un rouleau de 72 mètres est présenté dans un livre d'une seule image. Un leporello de plus de 20 mètres de long. Au cours des années 90, rien ne va plus au village de Quingfenjie. Depuis l'arrivée de la route nationale, le progrès avance, anciens et modernes s'affrontent. Sous fonds de lutte d'influences et de coups fourrés, la bataille s'installe au sein même de la famille Xia entre valeurs paysannes, biens communs et développement économique. A travers la fascination pour Bia Xue, chanteuse d'opéra de Qin, Yinsheng, le narrateur nous relate cette chronique inspirée d'un roman de Jia Pingwa. Une histoire universelle aux accents d'opéra rural chinois.
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Un one-shot sur la construction d'une des plus hautes voie de chemin de fer au monde.
Au 19ème siècle, des ingénieurs français ont été envoyés en Chine pour amener le rail dans une région montagneuse.
Li Kunwu partage avec nous sa découverte de l'histoire de cette ligne de chemin de fer hors norme après avoir découvert la tombe oubliée d'un Français dans un cimetière du Yunnan.
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L'artiste Yishan Li, experte en illustrations de manga, montre à quel point il est facile, en suivant les étapes, de transformer des cercles, des rectangles, des carrés et des ovales en personnages amusants et extraordinaires. Cet ouvrage présente :
- 130 modèles de garçons, filles, animaux, chibis et créatures mythologiques ou légendaires, ainsi que des postures, des tenues vestimentaires et des expressions diverses et variées.
- Une technique sous la forme de pas-à-pas qui propose d'assembler de simples lignes et formes géométriques. Il est possible de repasser le dessin obtenu au marqueur ou au feutre, selon l'effet et le style recherchés.
- La dernière étape, correspondant à la mise en couleur, permet de donner libre cours à son imagination.
Une fois les modèles de ce livre maîtrisés, l'objectif est de les personnaliser davantage ou de se lancer dans ses propres créations 100 % manga !
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Dans son troisième récit autobiographique, Li-chin Lin questionne les notions d'appartenance à un pays et de "chez soi" . Même si elle vit en France depuis plus de vingt ans, Li-chin doit encore faire face à la xénophobie de personnes qui ne font pas la distinction entre les différents pays asiatiques, se moquent de son accent ou véhiculent des stéréotypes racistes. Ces comportements lui donnent l'impression qu'elle n'est pas intégrée et remettent en question sa relation avec le pays dans lequel elle a pourtant passé près de la moitié de sa vie.
Li-chin Lin a également une relation un peu compliquée avec son pays d'origine, Taïwan, où elle retourne régulièrement. Ses relations avec sa famille se sont dégradées au fil du temps et elle a l'impression d'être considérée comme un membre éloigné de la famille, pas une étrangère, mais presque. Enfin, l'appartement dans lequel elle vit à Valence, là où elle devrait se sentir en sécurité, est situé juste au dessus d'un bar extrêmement bruyant et elle passe de longues nuits blanches qui la rendent folle.
Li-chin se sent impuissante, ignorée par la mairie et la police, sans soutien, ce qui provoque une profonde crise... Avec Goán tao, Li-chin tente de répondre à des questions cruciales ; "quel est mon pays ? " et "où suis-je chez moi ? ".
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Une invitation à une fête de promo et voilà l'occasion pour Li Kunwu de retrouver ses anciens camarades de classe. Que sont devenus les petits écoliers qui accompagnaient Petit Li dans les pages d'Une vie chinoise ? Quels parcours pour ces enfants depuis la Révolution populaire jusqu'à aujourd'hui en passant par la Révolution culturelle ?
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Ma génération, celle d'une vie chinoise Tome 2
Kun Wu Li
- Kana
- Made In
- 9 Septembre 2016
- 9782505066378
Ils ont connu le Grand Bond en avant, la Révolution culturelle, l'enthousiasme et le désespoir. Ils se souviennent tous de ce qu'ils faisaient le jour de la mort du président Mao. « Ils », c'est la génération d'Une vie chinoise. À l'heure de la révolution Internet, que sont devenus les femmes et les hommes de la révolution maoïste ? Li Kunwu nous offre un témoignage sur cette génération qui a construit la Chine d'aujourd'hui.
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Hellboy & B.P.R.D. Tome 5 : 1956
Mike Mignola, Chris Roberson, Li
- Delcourt
- Contrebande
- 5 Février 2020
- 9782413025061
La pression monte au sein du Bureau de Recherche et de Défense du Paranormal, alors que sont découverts les plans secrets des soviétiques pour mettre la main sur des armes occultes des nazis. Varvana, en charge de du département des affaires occultes soviétiques, pousse ses agents à répondre au moindre de ses caprices. Hellboy ui est envoyé en mission qui mènera au fameux épisode de ses aventures au Mexique...
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Suite et fin de cette grande fresque au coeur de la Chine profonde. Avec la succession des famines, épidémies et nouveaux pouvoirs, les destins des deux clans rivaux Bai et Lu se retrouvent emportés dans le fracas des luttes entre seigneurs de la Guerre et le cruel déchirement des anciens frères nationalistes et communistes.
Devenu un classique de la littérature chinoise contemporaine, le célèbre roman de Chen Zhongshi trouve ici, par la grâce du pinceau de Li Zhiwu, une adaptation graphique à la mesure de son univers foisonnant.
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Au-delà de l'affaire des frégates, Taïwan nous évoque en général peu de chose au regard de la complexité de son histoire et de sa culture. Li-Chin Lin, née en 1973 dans la campagne taïwanaise, et qui vit en France depuis dix ans, nous raconte son histoire. Elle aborde avec franchise et beaucoup de recul son enfance, tiraillée entre la culture de sa famille (ses grands-parents parlent le japonais, souvenir des colonisateurs et langue honnie par le régime), ses envies (l'attrait du manga), et la doxa officielle.
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À une journée de marche de l'antique cité de Xi'an, se trouve le pays du Cerf blanc. En son chef-lieu de Bailu, la vie s'écoule au rythme des saisons et des travaux des champs, tandis que la vieille rivalité qui oppose les deux familles des Bai et des Lu ne manque pas de suivre le fil du calendrier rituel ni d'obéir à l'alternance des mariages, naissances et enterrements.
Quand survient la fin de l'Empire en 1911, la querelle villageoise va se mettre au diapason de l'Histoire et s'alimenter peu à peu du trouble jeté par la succession des épisodes révolutionnaires.
Devenu un classique de la littérature chinoise contemporaine, le célèbre roman de Chen Zhongshi trouve ici, par la grâce du pinceau de Li Zhiwu, une adaptation graphique à la mesure de son univers foisonnant.
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« Depuis tout petit, j'entendais parler de Cuba. Dans les années 1950, nos deux pays avaient développé d'excellentes relations. Et au fond de moi, j'ai toujours su qu'un jour j'irais là-bas. » Pour l'artiste chinois qu'est Li Kunwu, Cuba touche à l'intime, l'histoire de l'île faisant particulièrement écho à celle qu'il a vécue dans l'Empire du Milieu. La similarité des paysages avec ceux de son Yunnan natal l'émerveille, à l'instar du peuple cubain au destin si proche du sien. La ferveur de l'île et de ses habitants le poursuit jusque dans son atelier, où il réalise plus de trois cents dessins : encres, couleurs, lignes claires, portraits, paysages... Une diversité stylistique qui reflète tant la richesse de ses émotions que la profusion rencontrée sur place.
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Quand deux scientifiques restaurent cinq cyborgs guerriers mis hors circuit afin de leur donner une nouvelle vie, ceux-ci coupent toute communication et disparaissen. Une panne ? À moins que ce ne soit la naissance d'une vraie liberté ? Alors que les souvenirs implantés en eux parasitent leur mémoire neuve, les cyborgs se retournent contre leurs créateurs. Seul l'un d'entre eux va trouver dans l'art, et dans ses visites assidues au Louvre, une voie vers la beauté. Et tenter, à travers la peinture, d'insuffler la vie... Li Chi Tak livre un récit philosophique sur l'art et la création à travers une histoire d'anticipation au graphisme époustouflant.
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C'est une histoire d'amour mais aussi de peur. L'aventure loufoque d'un homme qui pour montrer son amour va dépasser ses peurs tel un Don Quichotte moderne ! Un dessin et une narration sublime, par Li Lung-Chieh, qui vous transportent dans un univers où l'aventure est poésie.
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Au travers du portrait de sa maman, Li Kunwu nous conte l'histoire d'une Chine qui n'est plus. Celle de la période pré révolutionnaire. Et si la spécificité de la révolution chinoise tient à sa dimension paysanne par rapport la révolution ouvrière russe, il n'est pas difficile de comprendre pourquoi à la lecture de ce nouveau récit.
Le décalage entre la vie dans les villes et celle des campagnes est si édifiant qu'on se voit presque plongé en plein moyen-âge.
Avec son dessin toujours aussi incroyable, Li Kunwu nous parle du peuple, des petites gens, de la manière dont ils vivaient, de leurs croyances... dans cette Chine de la fin des années 1930.
De la même manière que nous avions découvert comme jamais auparavant la famine qui avait frappé la Chine sous Mao dans « Une vie chinoise », Li Kunwu nous offre une fois encore un document rare et poignant sur l'Histoire de la Chine.
Il y la grande Histoire et puis la petite, celle de sa maman, ballotée sans cesse entre le village de sa mère et la maison du seigneur où travaille son père. C'est l'histoire des relations maritales, familiales à l'époque, et celle de la place de la femme...
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Mais que faut-il pour faire un monde ? A cette question est souvent répondu : de tout, même s'il faut reconnaître que la réponse serait plutôt : de peu, si l'on suit sérieusement les créations de Mai Li Bernard pour laquelle peuvent su?re (très largement) quelques gommettes. Grosso modo, trois formes et trois couleurs : cercle et ?gures à trois ou quatre côtés, et trois couleurs de base, rouge, bleu, jaune. Et voilà, ô miracle, qu'avec ce si peu, ce si modique, s'érigent sous nos yeux ces assemblages, ces compositions, ces systèmes, ces structures, qui ne sont pas sans rapport (à moins de n'y rien voir) avec ce style architectural appelé le brutalisme, qui connut en Europe les meilleurs de ses jours dans la seconde moitié du xxe siècle. Un style caractérisé par la répétition de certains éléments et par l'absence drastique d'ornementation, une sorte de nudité fondamentale en somme dont la structure elle-même se doit d'être exposée. En ce sens, nul doute, il s'agit bien pour Mai Li Bernard de tentatives de brutalisme. Toutefois, ne nous y trompons pas, l'architecture brutaliste n'érige pas seulement des façades, mais aussi fatalement des intérieurs au creux de ces ouvrages, destinés malgré tout à la vie, à la communauté, à la promiscuité, au bienêtre et même à l'utopie, si l'on songe, par exemple, à La Cité radieuse du Corbusier. Et sans doute les collages de Mai Li Bernard répondent-ils à leur façon à cette haute exigence. En e!et, ces collages ne sont-ils pas eux-mêmes radieux et même d'une brutalité rayonnante, des sortes d'édi?cations luxuriantes, bariolées et vives, autrement dit vivantes, sémillantes, allègres, éclatantes, parvenant ?nalement à toucher comme une sorte d'érotisme étincelant, fringant et pétulant, une longue suite d'érections pleines d'ardeur, rigoureusement tendues vers le plus haut par la seule force de leurs propres éclats ?
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Après un premier roman graphique consacré à Taïwan, Formose, Li-Chin Lin réalise avec Fuda-Fudak un reportage passionnant sur l'une des communautés aborigènes de l'île, les Amis. Avant l'arrivée des immigrés chinois au 17e siècle, Taïwan était habitée par une vingtaine de groupes aborigènes, pour la plupart aujourd'hui disparus. Les Amis sont l'une des tribus indigènes qui subsistent.
En 2013, une amie de Li-Chin, Hsiao Ching, décide de quitter la capitale, Taipei, pour s'installer à Dulan, un village Amis de la côte Est. Elle y monte un projet de ferme bio et noue rapidement des relations fortes avec les Amis, puis en vient à défendre leurs intérêts et milite avec eux contre un énorme projet de complexe hôtelier sur la plage de Fuda-Fudak, proche de Dulan.... Réalisé entre 2013 et 2015, Fuda-Fudak décrit l'installation de Hsiao Ching dans ce village, la mise en place de son projet de ferme bio, ses relations avec les aborigènes, ainsi que l'histoire du conflit avec les autorités locales jusqu'à la conclusion de l'affaire Fuda-Fudak. Li-Chin Lin a vécu avec son amie et les Amis pendant plusieurs mois et, à travers le récit de leur quotidien, elle montre comment une minorité tente envers et contre tout de préserver ses coutumes et son cadre de vie face à un gouvernement obnubilé par des intérêts financiers.
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Li Kunwu raconte sa vie en Chine à son fils qui vit à Londres. De sa petite enfance dans la Chine des années 50 à la Chine d'aujourd'hui. C'est le récit d'une société en pleine mutation confrontée à des contrastes violents liés aux changements de modèle économique.
Évolutions qui ont aussi des impacts au niveau des relations amoureuses que l'auteur décrit avec beaucoup d'humour.