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Les Tuniques Bleues - Tome 68 - De l´or pour les Bleus
Fred Neidhardt
- Dupuis
- 18 Octobre 2024
- 9782808504188
Alors qu'ils chevauchent vers une permission bien méritée, Blutch et Chesterfield assistent à l'assassinat de deux soldats sudistes par une troupe de brigands. Recueillant les dernières volontés de l'un des mourants, Chesterfield lui promet de ramener son médaillon à sa fiancée... C'est ainsi que nos deux amis - déguisés en Mexicains - se dirigent vers les territoires sudistes. Sans se douter qu'ils vont être pris pour les Confédérés décédés. Et découvrir que ces derniers faisaient partie d'un plan secret permettant de gagner de l'or. Beaucoup d'or. Assez pour que le Sud remporte la guerre... Souci supplémentaire : l'un des soldats les accompagnant pour récupérer le magot n'est autre que le fils d'un certain général Lee... Blutch et Chesterfield parviendront-ils à mettre la main sur le mythique trésor des sudistes ?
Fred Neidhardt, à l'aise sur de nombreux registres, se glisse avec bonheur dans les bottes des Tuniques bleues, avec beaucoup d'humour et de culture. L'inépuisable Lambil est, comme toujours, impeccable. -
Le comte de Champignac a disparu ! Il a été enlevé par des agents du KGB... Des savants russes ont besoin de lui pour les aider à répandre le gène du communisme dans le monde entier. Dans le contexte de la guerre froide, Spirou et Fantasio jouent les James Bond, espions infiltrés sous la couverture d'un reportage pour Vaillant (Pif Gadget), le journal communiste de l'époque. Parviendront-ils à délivrer Champignac de l'embrigadement bolchévique et à sauver le monde de la contamination communiste ? Au dessin, Fabrice Tarrin s'inscrit pleinement dans la continuité des créateurs de la série qui ont fait de Spirou un grand héros éternel. Le scénario de Fred Neidhardt, l'un des plus fins connaisseurs de "Spirou", distille avec jubilation des références à la grande époque de la BD franco-belge, dans un univers de guerre froide où plane de-ci de-là l'ombre de 007. De quoi raviver le goût pour la série Spirou et Fantasio dans ce qu'elle a de plus mythique et intemporelle !
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Le Spirou de... : Spirou chez les Soviets
Fred Neidhardt, Tarrin
- Dupuis
- Tous Publics
- 4 Septembre 2020
- 9791034752676
Le comte de Champignac a disparu ! Il a été enlevé par des agents du KGB... Des savants russes ont besoin de lui pour les aider à répandre le gène du communisme dans le monde entier. Dans le contexte de la guerre froide, Spirou et Fantasio jouent les James Bond, espions infiltrés sous la couverture d'un reportage pour Vaillant (Pif Gadget), le journal communiste de l'époque. Parviendront-ils à délivrer Champignac de l'embrigadement bolchévique et à sauver le monde de la contamination communiste ?
Au dessin, Fabrice Tarrin s'inscrit pleinement dans la continuité des créateurs de la série qui ont fait de Spirou un grand héros éternel. Le scénario de Fred Neidhardt, l'un des plus fins connaisseurs de "Spirou", distille avec jubilation des références à la grande époque de la BD franco-belge, dans un univers de guerre froide où plane de-ci de-là l'ombre de 007.
De quoi raviver le goût pour la série Spirou et Fantasio dans ce qu'elle a de plus mythique et intemporel !
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"Non. C'est hors de question. J'ai dit «jamais», c'est jamais. Je remettrai jamais les pieds là-bas. Pour moi, l'Algérie, c'est... C'est l'Atlantide. Le continent englouti".
Daniel a une discussion animée avec son père, sur un sujet sensible : l'Algérie. Pour son père, pied-noir, pas question d'y retourner : c'est l'Atlantide, le continent englouti. Daniel décide d'aller à Alger sur les traces de son père. Après une enquête fouillée, Daniel trouvera les réponses à ses questions par l'intermédiaire de M'hamed. Alger-retour est une histoire personnelle, mêlant chassé-croisé et transmission.
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« Il est raciste, il déteste les Arabes...
Il aime pas les Noirs, les Juifs... Lui qui est marié à une Juive...
Mais c'est quand même mon pépé. Je l'aime quand même ».
Des personnages réels, bien au-delà des modèles manichéens, leur dualité, à la fois attachants et détestables...
Un narrateur en porte-à-faux, entre ses convictions et celles des membres de sa famille.