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Cherche Midi
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1875. Dans le but de favoriser l'intégration, un chef cheyenne, Little Wolf, propose au président Grant d'échanger mille chevaux contre mille femmes blanches pour les marier à ses guerriers. Grant accepte et envoie dans les contrées reculées du Nebraska les premières femmes, pour la plupart « recrutées » de force dans les pénitenciers et les asiles du pays. En dépit de tous les traités, la tribu de Little Wolf ne tarde pas à être exterminée par l'armée américaine, et quelques femmes blanches seulement échappent à ce massacre.
Parmi elles, deux soeurs, Margaret et Susan Kelly, qui, traumatisées par la perte de leurs enfants et par le comportement sanguinaire de l'armée, refusent de rejoindre la « civilisation ». Après avoir trouvé refuge dans la tribu de Sitting Bull, elles vont prendre le parti du peuple indien et se lancer, avec quelques prisonnières des Sioux, dans une lutte désespérée pour leur survie.
Avec cette aventure passionnante d'un petit groupe de femmes prises au milieu des guerres indiennes, Jim Fergus nous donne enfin la suite de Mille femmes blanches. Le miracle se produit à nouveau et cette épopée fabuleusement romanesque, véritable chant d'amour à la culture indienne et à la féminité, procure un incommensurable plaisir de lecture.
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Des textes oubliés de Jules Verne illustrés par Tardi !
Nantes. Un prédicateur de retour de Terre sainte choisit une vieille église depuis longtemps abandonnée pour y prêcher. Alors que la foule prend place, on entend soudain, provenant du clocher, des cris d'épouvante. C'est la catastrophe : la cloche gigantesque qui s'est détachée s'abat sur les paroissiens. Jules Deguay, un jeune avocat présent sur les lieux, soupçonnant un complot, décide de mener l'enquête.
Dans la plus pure tradition du roman gothique, Un prêtre en 1839 est le premier roman, inachevé, de Jules Verne. Foisonnant de péripéties, on y retrouve déjà le goût de l'auteur pour le mystère et l'aventure, goût qui s'affirmera avec 20 000 lieues sous les mers ou Voyage au centre de la Terre.
Outre ce récit, on voit également un ensemble de nouvelles tout aussi enlevées et jubilatoires, mettant en scène Pierre-Jean, le bagnard au grand coeur, San Carlos, le contrebandier espagnol, ou encore l'inénarrable marquis Anselme des Tilleuls. On découvre enfin l'ébauche du dernier roman de Jules Verne, Le Voyage d'études, dont l'action se situe en Afrique centrale, interrompu par sa mort le 24 mars 1905.
Le tout, magnifiquement illustré par plus de cinquante dessins originaux de Tardi. Avis aux amateurs ! -
Tout est permis, surtout le pire.
Peut-on encore rire de tout ?
Et pourra-t-on encore demain rire de tout ?
Ces questions méritent d'être posées...
Et c'est l'objectif de ce livre. Pas de limite à l'humour qui est au service de la liberté d'expression, car, là où l'humour s'arrête, bien souvent, la place est laissée à la censure ou à l'autocensure.
Ni les religions et leurs intégristes, ni les idéologies et leurs militants, ni les bien-pensants et leurs préjugés ne doivent pouvoir entraver le droit à la caricature, fût-elle excessive.
Cabu -
Tintinophile averti, Albert Algoud a lu et relu chaque album du héros d'Hergé. La Castafiore n'a donc aucun secret pour lui.
Jusqu'au jour où, face au Sceptre d'Ottokar, il se met à douter : et si la Castafiore n'était pas ce qu'elle semblait être ? Il se lance dans une enquête, dont il publie les premiers résultats en 2006. Mais la Castafiore n'avait pas livré tous ses mystères...
Dans cette biographie humoristique et amoureuse, Albert Algoud retrace le parcours personnel, musical et historique d'une icône queer qui a côtoyé les plus grands, de Lawrence d'Arabie à Lou Reed en passant par Joséphine Baker et le général de Gaulle. Des péripéties qu'Alain Bouldouyre illustre avec légèreté et poésie.
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Les pensées de Pierre Dac illustrées par Cabu
Pierre Dac, Cabu
- Cherche midi
- Les Pensees
- 22 Janvier 2015
- 9782749140308
1975-2015 : 40 ans de la disparition de Pierre Dac Pierre Dac et Cabu sont nés à Châlons-en-Champagne, à plusieurs dizaines d'années d'écart mais à seulement quelques centaines de mètres de distance.
Le roi des loufoques est resté jusqu'à l'âge de 3 ans dans une ville qui s'appelait alors Châlons-sur-Marne et que, origines juives obligent, il voulait faire rebaptiser Chalom-sur-Marne. Le père du Grand Duduche et du Beauf y a grandi et commencé sa vie professionnelle dans le journal local. Pendant ses jeunes années, il a nourri son humour naissant en dévorant des numéros de L'Os à moelle conservés dans le grenier familial.
Ils ne se sont rencontrés qu'une seule fois, en 1969, à Paris. Aujourd'hui, les voici à nouveau réunis à travers Les Pensées du maître 63, devenues des classiques, illustrées par des dessins de Cabu en noir et blanc mais résolument hauts en couleur. Pour le meilleur, mais surtout pour le rire.
Anti-préface de Louis Leprince-Ringuet -
En 2005, Charlotte Valandrey révèle dans L'Amour dans le sang sa séropositivité depuis l'âge de 17 ans et sa greffe cardiaque récente, le remplacement de son coeur passionné, éreinté : "C'est l'histoire d'une femme qui aima tellement qu'elle eut besoin d'un autre coeur..." Un mois après la parution de ce livre, Charlotte reçoit une lettre anonyme : "Je connais le coeur qui bat en vous, je l'aimais..." Ces mots, qui pourraient sembler fous, la bouleversent alors qu'elle est en proie à des cauchemars récurrents, des sensations impérieuses de déjà-vu et des changements intérieurs surprenants.
C'est le début d'un étrange parcours pour Charlotte qui veut comprendre pour se libérer d'une présence qu'elle ressent intimement. Y a-t-il vraiment une autre vie en elle ? Un voyant troublant, un cardiologue amant, une psychanalyste rationnelle et un professeur figé dans le secret médical vont tenter de lui répondre. En quête de vérité, Charlotte, mère battante, femme joyeuse qui connaît le prix de la vie, nous entraîne avec elle dans un voyage initiatique captivant qui, des mystères de la mémoire cellulaire aux errances du coeur, la mènera peut-être vers ce port lumineux, but ultime de sa vie, l'amour rêvé, l'amour immense.
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Inédit : chaque chronique d'urgence est accompagnée d'un conseil médical.
Confronté à des situations incroyables et souvent dramatiques, Patrick Pelloux décrit son quotidien, avec son regard de médecin urgentiste et d'écrivain. Non sans humour, il souligne les travers de notre époque et d'une société cruelle malgré elle.
Ce livre est votre miroir, vous allez vous y retrouver, avec des sourires et des larmes. Vous allez lire vos problèmes mais peut-être, aussi, trouver des pistes pour les résoudre. Les histoires d'urgences ne finissent pas toujours mal ! Elles montrent que la vie est le bien le plus précieux entre tous, même si ce monde, avec la réalité virtuelle des écrans, nous éloigne de cette évidence.
On ne vit qu'une fois est le huitième ouvrage de Patrick Pelloux et la suite des trois précédents recueils de chroniques d'urgences parues dans Charlie Hebdo et publiées par le cherche midi.
Vous allez entrer dans le quotidien des urgences, dont la première s'appelle la vie. -
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Ce livre aurait pu avoir comme titre Le Zoo de Desclozeaux, mais Desclozeaux n'aime pas les zoos. Il est trop épris de liberté ; Ce grand gars de Sernhac, élevé à l'ombre du verger familial, migre vers Paris dans les années 1960 pour devenir affichiste, illustrateur publicitaire, dessinateur de presse. Cet ouvrage est l'occasion de redécouvrir ses animaux familiers, créatures au naturel espiègle et facétieux, de retrouver son trait d'humour subtil, ses pieds de nez graphiques, ses plumes chamarrées.
Hervé Tissot
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Les dessins les plus drôles de Cabu
Cabu
- Cherche midi
- Bibliotheque Du Dessinateur
- 13 Décembre 2000
- 9782862748177
Cabu s?inscrit dans la lignée de Daumier. Il se sert de la caricature comme d?une arme politique vis-à-vis des puissants et des ridicules de l?époque. Elle lui permet aussi de faire rire du tragique ou de la banalité. Grâce à ce polémiste, des politiciens dont la postérité n?aura retenu que l?insignifiance ont gagné leurs lettres de noblesse. Croqués par Cabu, ils resteront pour ce qu?ils étaient. Pas grand chose. Des produits à consommer dans l?urne. Il y a aussi le Cabu observateur critique et sarcastique des m?urs et modes d?une société française dont il décortique à loisirs les travers et les ridicules. Les ?meilleurs dessins? ici proposés montrent le talent cinglant d?un dessinateur qui a fait de l?irrespect sa marque de fabrique. Aucun d?entre eux n?a vieilli ou pris le moindre cheveu blanc et leur puissance comique est toujours aussi ravageuse.
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Bon nombre d'humoristes tiennent Francis Blanche pour leur Tonton préféré. Un tonton flingueur s'il en est : iconoclaste, irrespectueux et mystificateur, maniant de main de maître l'absurde et la folie. Ses conseils témoignent d'une sagesse ancestrale : "Si vous ne vous sentez pas bien, faites-vous sentir par un autre", "Pour rentrer chez vous une seule adresse, la vôtre", ou encore : "Qui vole un oeuf ferait mieux de voler un boeuf." Mais le plus grand des talents de Francis Blanche est d'avoir su mettre le rire au coeur de sa vie quotidienne autant que dans ses sketches. Inventeur des fausses publicités, il est aussi à l'origine du canular téléphonique. On trouvera ici quelques-unes des folles aventures du célèbre Macheprot. Amusons-nous du délire de cet homme-orchestre, inventeur de la greffe surprise, de la police des nurses et du dépanneur d'escalopes. De belles nuits blanches en perspective !
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On ne compte plus les écrivains et les dessinateurs passionnés par les chats au point de leur consacrer une part de leur oeuvre. Siné, une fois encore, a trouvé le moyen de se distinguer. Ses Chats lui ressemblent. Teigneux, dévergondés, ils ne respectent rien tout en faisant parfois patte de velours.
" Dans les années cinquante, écrit Umberto Eco dans sa préface, la première édition de Portée de chats constitua pour nombre d'entre nous un événement... Les dessins de Siné se situaient dans la lignée d'une grande tradition humoristique. " Aujourd'hui, Les Chats de Siné est LE classique félin par excellence. -
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Humoriste à l'esprit et au dessin acérés, Chaval, de son vrai nom Yvan Le Louarn (1915-1968), est également reconnu pour ses contes intitulés Les Gros Chiens. Aujourd'hui, ce recueil est réédité avec d'autres textes dont un certain nombre sont inédits. A travers des lettres réelles ou fictives, des dialogues, de la prose poétique, des fables parodiques, des autoportraits plus ou moins fantaisistes, on retrouve la verve cocasse de Chaval et son merveilleux sens de la dérision. Chaval écrivain est tout aussi étonnant et décapant que Chaval dessinateur.
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Je t'aime, un peu, beaucoup, à la folie, pour la vie, pas du tout...
Les histoires de couple sont éternelles et le dessinateur Bosc en est un des plus fins observateurs. Drague, vie quotidienne, jalousies, séparations, les dessins de Bosc nous racontent les péripéties de la vie amoureuse d'hommes et de femmes qui nous ressemblent, mais dont on se rit des mésaventures avec bonheur. -
Avec ce troisième album, Voutch confirme qu'il est bien l'un des dessinateurs les plus fins et les plus drôles de sa génération. L'acuité du regard sur le monde contemporain, chez Voutch, est une note singulière faite d'un cocktail ainsi dosé : 1/3 cynisme, 1/3 tendresse, 1/3 cruauté. La psychologie joue aussi un rôle très important dans l'art de Voutch, appliquée aux rapports sociaux, professionnels et amoureux. Il a, en outre, une manière bien à lui de pousser la logique jusqu'à l'absurde, faisant de certains de ses dessins, des petits chefs-d'oeuvre de sophismes graphiques.
Enfin, et ce n'est pas le moindre des compliments qu'on peut lui faire, il n'y a jamais, chez Voutch, une once de vulgarité.