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Ouvrir grand les frontières, une semaine de travail de quinze heures, le revenu de base universel... Des idées naïves et dépassées ou bien la force de l'utopie renouvelée ? Résolument anti-décliniste, Utopies réalistes tombe à pic et nous explique comment construire un monde idéal aujourd'hui et ne pas désespérer ! D'une ville canadienne qui a totalement éradiqué la pauvreté à l'histoire d'un revenu de base pour des millions d'Américains sous Richard Nixon, Rutger Bregman nous emmène dans un voyage à travers l'histoire et, au-delà des divisions traditionnelles gauche-droite, défend des idées qui s'imposent par la force même de l'exemple et le sérieux de la démarche historique. Tout progrès de la civilisation - des débuts de la démocratie à la fin de l'esclavage - fut d'abord considéré comme un fantasme de doux rêveurs.
À la fois stimulant et passionnant, appuyé sur les travaux d'Esther Duflo, Thomas Piketty, David Graeber, etc., cet essai vif, pédagogique et amusant rouvre plusieurs perspectives : la réduction du temps de travail, le revenu universel, plus largement la lutte contre la pauvreté et la réduction des inégalités, la taxation des flux financiers, et enfin l'ouverture des frontières. Alors laissons l'enthousiasme de l'auteur, à contre-courant du pessimisme ambiant, nous convaincre que de nouvelles propositions utopiques peuvent être envisageables à court terme.
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À l'approche des fêtes de Noël, Amazon recrute des milliers d'intérimaires. Pour la première fois en France, un journaliste décide d'infiltrer un entrepôt logistique du géant du commerce en ligne. Jean-Baptiste Malet intègre l'équipe de nuit. Après avoir souscrit au credo managérial et appris la novlangue de l'entreprise, c'est la plongée dans la mine : il sera pickeur, chargé d'extraire de leur bin (cellules) des milliers de « produits culturels », qu'il enverra se faire emballer à la chaîne par un packeur. Chaque nuit, il courra son semi-marathon, conscient de la nécessité de faire une belle performance, sous le contrôle constant des leads (contremaîtres) planqués derrière leurs ordinateurs... Bienvenue de l'autre côté de l'écran, une fois la commande validée, quand les pratiques d'Amazon n'ont plus rien de virtuel.
« Un univers incroyable aux accents totalitaires », Libération.
« Une enquête choc. On réfléchira désormais avant de cliquer », Marianne.
Jean-Baptiste Malet est journaliste, lauréat du prix Albert-Londres pour L'Empire de l'or rouge (Fayard, 2017). -
Nous sommes en 2034 : désormais journaliste et réalisatrice retraitée, Marie-Monique Robin rédige ce livre, qui raconte comment les humains ont réussi, vingt ans plus tôt, à éviter l'effondrement de leur civilisation. Cela grâce à un étonnant sursaut collectif survenu après la publication du cinquième rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), annonçant les terribles catastrophes provoquées par le réchauffement climatique.
Une uchronie prospective, donc. Mais qui restitue d'abord, de façon remarquablement pédagogique, les enchaînements ayant conduit, au XXe siècle, à ériger en dogme absolu l'idéologie de la croissance économique. Révélant des épisodes méconnus de cette histoire, Marie-Monique Robin montre de quelle manière l'« intoxication de la croissance » a conduit à la situation catastrophique de ce début du XXIe siècle. Surtout, elle raconte comment, dès cette époque, se multipliaient partout les initiatives très concrètes de « lanceurs d'avenir » dessinant la voie vers une société durable et plus équitable.
Un livre optimiste, qui démontre que, contrairement à certains discours ambiants, nous avons en main toutes les clés pour engager l'indispensable transition vers la société de postcroissance.
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XXI (Vingt-et-un) : l'information grand format. 198 pages de reportages. 100% de création, 0% de publicité.
Combler un manque.
L'écume de l'actualité au jour le jour est disponible partout, gratuitement à tout moment et sous toutes les formes. Mais la curiosité des lecteurs, leur besoin de compréhension n'est pas satisfait. Le mensuel américain Atlantic Monthly a étudié en décembre dernier les fonctions « articles les plus envoyés », disponibles sur les sites des grands quotidiens. Résultat : « Les lecteurs plébiscitent les articles qui offrent une plus value, quelque chose qui n'est pas disponible ailleurs. Ils apprécient une enquête en profondeur, un récit prenant, un point de vue décalé qui, même dans la blogosphère (voire particulièrement dans la blogosphère), ne se trouve qu'au compte-goutte. Ce sont des articles bien écrits, sur des histoires fortes, personnelles, lues nulle part et qui surprennent les lecteurs ».XXI répond à cette aspiration.
Parier sur le grand format.
Les anglo-saxons appellent le « narrative writing », ce journalisme de récit, qui prend le temps d'aller voir et qui emporte le lecteur dans la lecture. En 1979, le jeune Bill Bufford a repris une antique revue universitaire anglaise, Granta, qui tirait à 1.800 ex. Il sentait que les lignes du monde étaient en train de bouger. Il a envoyé des journalistes et des écrivains dans les usines ou les banlieues de Margaret Thatcher, en Chine, au Venezuela ou en Roumanie. Les ventes se sont envolées. Et de ce creuset sont sortis Salman Rushdie, Hanif Kureishi et tant d'autres.
Après le 11 septembre 2001, le mensuel Vanity fair, a opéré une révolution similaire : il compte désormais plus de correspondants de guerre que de chroniqueurs de mode. Les exemples étrangers de « narrative writing » sont nombreux, depuis The New Yorker jusqu'aux quotidiens espagnols El Pais et El Mundo.
Rassembler les genres.
XXI rassemble des auteurs qui veulent se confronter au réel, quel que soit leur mode d'expression. Le talent n'a pas de passeport. Les lignes de frontière ont explosé entre le roman, la bande dessinée, le polar, la photographie, le documentaire et le journalisme.
Persépolis est une BD autobiographique, devenue un film d'animation qui a permis à des millions de gens de comprendre la révolution iranienne. Michaël Moore a obtenu la Palme d'or à Cannes pour son documentaire sur Georges W. Bush. La trilogie policière Millénium dont le succès submerge l'Europe raconte l'aventure d'un mensuel indépendant en Suède qui lutte contre la délinquance financière et de l'extrême droite.
De grands dessinateurs de BD comme Jean-Philippe Stassen, Jacques Ferrandez, Joe Sacco sont de l'aventure de XXI, tout comme des romanciers à l'image d'Emmanuel Carrère, d'anciens journalistes devenus écrivains comme Sorj Chalandon, Denis Robert ou Jean Rolin, des freelances comme Judith Perrignon, Armelle Vincent ou Maria Malagardis des signatures de quotidiens comme Jean-Pierre Perrin, Laure Mandeville, Philippe Lançon ou Colette Braeckman, des photo reporters comme Carl de Keyzer de Magnum.
Le seul impératif est d'aller sur place, prendre le temps, rendre compte, en captivant le lecteur.
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Tout le monde en parle, mais qui connaît vraiment le pangolin?Qualifié par Desproges d'«artichaut à pattes», cet adorable petit animal a beaucoup à nous apprendre, et on verra dans ce livre:
- qu'il ne faut pas se fier aux apparences (le pangolin est plus proche du chat que du lézard), - que la solitude a ses vertus (surtout en cas d'épidémie), - comment garder son calme quand le ciel vous tombe sur la tête (et qu'on vous accuse d'avoir causé une pandémie), - et que la différence est une richesse dont il faut prendre soin.Mignon et gentiment sarcastique, un adorable petit livre.
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La dessinatrice et le comédien-chanteur croisent leur point de vue sur le Sénégal.
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Cavanna à charlie hebdo, 1969-1981 ; je l'ai pas lu, je l'ai pas vu...
Cavanna
- Hoebeke
- 12 Décembre 2005
- 9782842302429
Durant quinze ans, Cavanna a signé les éditos de Charlie Hebdo, des textes vifs et pétillants où le pamphlétaire s'empare des événements de l'actualité pour en débusquer l'absurdité. Ils n'ont pas pris une ride. Ce livre reproduit une large sélection des éditos choisis en fonction principalement de leur intemporalité (grands sujets historiques et philosophiques) et de leur humour.
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Hergé aimait l'art du XXe siècle.
Fin connaisseur, il appréciait l'art abstrait mais également l'art africain. Sa collection témoigne de son goût pour l'abstraction géométrique et lyrique, mais aussi pour le pop art et des artistes tels que Poliakoff et Fontana. Les photos d'André Soupart, pour la plupart totalement inédites, permettent de découvrir cette collection. Au cours d'un tête-à-tête sympathique, Hergé présente , " ses " oeuvres avec passion mais également avec humour, n'hésitant pas à prendre la pose et à se prêter à la mise en scène.
Ces images exceptionnelles sont commentées par Pierre Sterckx, l'ami et le conseiller artistique d'Hergé. Son texte mêle souvenirs vécus, anecdotes révélatrices de l'homme Hergé et réflexions sur l'art.
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Qui est le mystérieux créateur de Droopy ? L´existence de Tex Avery a été longtemps mise en doute. Robert Benayoun, qui l´a connu, est le premier à le sortir de l´ombre en retraçant l´épopée
texavérienne. Invention de personnages, récupération par le géant Disney, traque du créateur insaisissable, cette enquête dévoile la face cachée d´un mythe contemporain !
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La banlieue de paris dans la bande dessinee
Isabelle Papieau
- L'harmattan
- 1 Novembre 2003
- 9782747515467
La bande dessinée appartient à notre univers culturel mais quelle vision révèle-t-elle de cet espace si médiatisé qu'est la banlieue ? Quelle place occupe la banlieue dans ce 9e art qui emprunte ses codes de représentations à ceux du cinéma, de la peinture et de la littérature ? A partir d'un choix de productions couvrant une vaste période (de la Belle Epoque à nos jours), l'auteur étudie le traitement de l'image que nous renvoient les concepteurs de B.D, du décor périurbain dans tout son éclectisme. L'analyse porte plus spécialement sur la configuration sociale et spatiale de ces territoires en mutation.
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Itinéraires dans l'univers de la bande dessinée
Michel-Edouard Leclerc
- Flammarion
- 24 Janvier 2003
- 9782080684523
On les lit, on dévore leurs cases, on admire leurs planches, ils ont des fans partout mais les connaît-on vraiment ? Les grands noms de la bande dessinée, qu'ils soient dessinateurs ou scénaristes, ne sont pas du genre à se livrer aisément. Et pourtant, pour cet ouvrage unique, ils ont accepté de le faire. Michel-Édouard Leclerc, féru de BD depuis toujours, parrain-sponsor du festival d'Angoulême, a décidé d'aller à leur rencontre. Avec Chantal-Marie Wahl, il est parvenu à pénétrer leur univers. Qui sont ces artistes ? Comment travaillent-ils ? Quelles sont leurs sources d'inspiration, leurs techniques, leurs parcours ? Autant de questions auxquelles une cinquantaine de dessinateurs et scénaristes ont accepté de répondre. Un album de passionnés sur des créateurs qui le sont tout autant.
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Quand Reiser est mort en 1983 (vingt ans en 2003), Hara-Kiri titra : Reiser va mieux, il est allé au cimetière à pied. Reiser n'est jamais arrivé au cimetière, il vit encore : l'humour et le sexe des années 2000 doivent presque tout à ses dessins incontournables. Son Gros Dégueulasse au slip douteux est un mythe contemporain. Ses Copines aux seins rebelles sont toujours aussi affranchies et sexy. Son bestiaire, du rat à l'éléphant, préfiguration du zoo humain, est tordant.
Reiser, d'un trait jaillissant, survolté, inventa le dessin de moeurs. Il jonglait avec les idées et les fantasmes les plus fous. Mais que connaît-on de sa vie, foudroyée par le cancer à 42 ans ? Sait-on qu'il est né (en 1941) d'une mère femme de ménage et d'un père inconnu qu'il soupçonna être un soldat allemand ? Sait-on qu'il pointa comme grouillot aux vins Nicolas avant de vivre la folle aventure d'Hara-Kiri, le journal bête et méchant du Professeur Choron et de Cavanna ? Sait-on que cet anarchiste se passionnait pour les nouvelles énergies et l'architecture ? Et se souvient-on que Reiser, qui passe pour le voyeur le plus drôle des années 1970, fut en amour le charme incarné, l'ami des femmes, mieux, un féministe avant l'heure ?
Jean-Marc Parisis nous entraîne dans le fracas d'une vie en éclats, éclairée par de multiples témoignages et documents. La France de De Gaulle, de Pompidou, de Giscard, défile. La France des Trente Glorieuses, de Mai 68 et de la censure, dont Reiser, ce Céline de la BD, tira le portrait en rigolant. Au fil d'une biographie nerveuse et superbement écrite, on retrouve Coluche, Wolinski, Cabu, le chaudron sensuel de Charlie-Hebdo, une génération libertaire et blagueuse. Reiser a dessiné et colonisé notre imaginaire. Il est éternel. -
Et soudain, ils ne riaient plus
Marie-France Etchegoin, Collectif
- Les arenes
- 6 Janvier 2016
- 9782352044703
Quatre journalistes d'expérience, rompus à l'enquête et au reportage, se sont unis pour rassembler tous les éléments du puzzle. Pas de glose, ni d'opinion, juste des faits assemblés. Leur livre dessine le visage exact de ce qui s'est réellement passé durant ces cinq jours, sans les reconstitutions a posteriori. Avec l'aide d'une documentaliste, ils ont rassemblés tous les faits qui se sont déroulés à Paris et dans toute la France. Et ils sont allés à la rencontre des acteurs et des témoins pour vérifier, recouper et raconter.
Ils ont retrouvé et interrogé plus de 200 personnes, qui ont joué un rôle durant ces événements.
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Qui a présenté Babe Ruth à Albert Einstein et pour quelle raison ? Qui était au courant du pacte liant Lee Harvey Oswald et James Earl Ray, de la romance entre Lady Di, du sort de Marilyn Monroe ? Nul autre que Max Vail (né Maxim Valesky à Saint Pétersbourg en 1900, mort à Manhattan en 1999).
Cet intermédiaire de génie évolua dans tous les domaines, aussi bien l'univers de la politique que celui du spectacle, des arts, du sport, du crime ou de la science. J'ai été le témoin du monde, disait-il dans sa grande simplicité. Et pourtant l'homme qui connaissait tous les gens - gardant leurs secrets, remplissant les contrats et n'oubliant jamais l'endroit où les corps étaient enterrés - n'était pratiquement connu de personne.
A travers son journal secret, auquel quatre-vingt-six collages par ordinateur restituent une vie extraordinaire, c'est toute l'histoire secrète du 20e siècle qui nous est offerte. Il vient confirmer des événements longtemps restés à l'état de rumeurs et en révéler d'autres, plus récents et d'autant plus frappants.
Ce sont quelque deux cents personnalités que l'on retrouve au fil de ces pages et leur saga - comique, tragique, ignominieuse, épique ou bizarre - brosse un tableau étrange et fascinant des désirs occultes et des obsessions de notre époque. Une contribution unique au deuxième millénaire. -
Connue des cinéphiles du monde entier, la revue Positif célèbre ses cinquante années d'existence. L'un des meilleurs moyens de fêter cet anniversaire consistait à republier quelques-uns des articles qui en ont marqué l'histoire. Cette anthologie s'efforce de refléter au mieux les goûts et les options esthétiques et politiques majeures de la revue. 50 ans de critique cinématographique sont ici déclinés au présent, tous les textes choisis étant contemporains de la sortie des films. Sans exclure les pamphlets (sur la Nouvelle Vague ou sur Rossellini), priorité a été accordée aux analyses fondées sur l'enthousiasme et aux cinéastes les plus représentatifs de l'identité singulière de Positif. L'ensemble compose, autour d'une cinquantaine de films, un panorama riche et varié d'un demi-siècle de cinéma mondial, tout en offrant une série de réponses à la question fondamentale pour tout critique : comment exprimer et transmettre son amour du septième art ?
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Le jeu de la guerre - releve des positions successives de toutes les forces au cours d'une partie
Becker-Ho/Debord
- Gallimard
- 28 Avril 2006
- 9782070776511
En 1965, Guy Debord dépose le brevet d'un Jeu de la Guerre (dit encore Kriegspiel) qu'il avait imaginé dix ans plus tôt. En janvier 1977, il s'associe à Gérard Lebovici pour fonder, à parts égales, une société dont l'objet est la production, la publication et l'exploitation de jeux. Sous la dénomination «Les Jeux stratégiques et historiques», la société publie simultanément en français et en anglais une Règle du «Jeu de la Guerre», et fait réaliser par un artisant quatre (ou cinq) exemplaires du jeu, dont la table (45,5 cm x 36,5 cm) et les pièces ciselées sont en cuivre argenté. C'est en 1987, après la disparition de Gérard Lebovici, que paraîtra, aux Éditions qui portaient son nom, Le Jeu de la Guerre, présenté sous la forme d'un «relevé des positions successives de toutes les forces au cours d'une partie». Un modèle rudimentaire du jeu avait été diffusé dans le même temps. En 1991, par décision de Guy Debord, Le Jeu de la Guerre est mis au pilon avec l'ensemble de ses autres livres publiés. Nous le faisons reparaître dans une nouvelle édition revue, corrigée et augmentée de documents retrouvés, susceptibles d'éclairer le lecteur sur le fondement et la nature spécifique de ce jeu tel que l'a conçu et réalisé son inventeur Guy Debord.
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LE DOSSIER. IDÉES propose son dossier « dessiner tue » sur le dessin de presse toujours menacé, 5 ans après l'attentat de Charlie Hebdo, mais aussi le phénomène des BD intelligentes qui font réfléchir. En avant-première de la biographie de sa femme (Plon, en janvier) portraits et dessins inédits de Tignous, mais aussi la relève : Aurel, Soulcié et Wozniak. Rencontres avec Piotr qui va sortir une BD féroce en janvier 2020 sur Edwy Plenel (planches en exclusivité), Séra le Tardi du Cambodge, Tiphaine Rivière qui réalise une série sur la connerie, et bien d'autres.