Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Nil
-
Ce n'était pas le projet estival dont Layla avait rêvé.
Rédiger l'histoire d'une petite ville de Virginie-Occidentale et de sa manufacture de chaussettes, Les Inusables Américaines.
Et pourtant...
Eté 1938. Layla Beck, jeune citadine fortunée, refuse le riche parti que son père lui a choisi et se voit contrainte, pour la première fois de sa vie, de travailler. Recrutée au sein d'une agence gouvernementale, elle se rend à Macedonia pour y écrire un livre de commande sur cette petite ville.
L'été s'annonce mortellement ennuyeux. Mais elle va tomber sous le charme des excentriques désargentés chez lesquels elle prend pension. Dans la famille Romeyn, il y a... La fille, Willa, douze ans, qui a décidé de tourner le dos à l'enfance... La tante, Jottie, qui ne peut oublier la tragédie qui a coûté la vie à celui qu'elle aimait... Et le père, le troublant Félix, dont les activités semblent peu orthodoxes. Autrefois propriétaire de la manufacture, cette famille a une histoire intimement liée à celle de la ville.
De soupçons en révélations, Layla va changer à jamais l'existence des membres de cette communauté, et mettre au jour vérités enfouies et blessures mal cicatrisées. -
Madame de Néandertal ; journal intime
Pascale Leroy, Marylène Patou-Mathis
- Nil
- 10 Avril 2014
- 9782841116676
Ce qui s'est vraiment passé le jour où nos ancêtres de Néandertal ont rencontré nos aïeux Homo sapiens Cette rencontre a suscité des dizaines d'hypothèses, plus ou moins scientifiques, plus ou moins farfelues. Mais la Grande, Néandertalienne délurée et glamour, y était, et a eu la bonne idée de tout consigner dans son journal intime. Où l'on découvre le face-à-face ahurissant entre les Néandertaliens qui se croyaient seuls au monde et les Sapiens, drôles de Zigues envahissants qui débarquent sans crier gare et font comme chez eux. De mémoire de mammouth, on n'avait jamais vu ça.
Mêlant à une fantaisie pleine de malice la plus grande rigueur scientifique (Marylène Patou-Mathis est une des meilleures spécialistes au monde de Néandertal), ce roman réjouissant nous apprend tout, tout, tout sur la vie et les moeurs de nos lointains ancêtres - révélant que nous avons avec eux plus de points communs que nous ne le soupçonnerions ! -
Cartes postales anciennes, lettres, publicités, échantillons de tissus, 600 pièces ont été nécessaires pour la réalisation de ce roman. Son héroïne, Frankie Pratt, a 18 ans lorsqu'en 1920 sa mère lui offre un journal. La jeune fille voudrait découvrir l'université et devenir plus tard écrivain. Mais il lui faut renoncer à ce rêve pour aider sa mère veuve et désargentée.
-
Cléo est une jeune femme presque comme les autres. Elle n'est pas mince, mais elle n'est pas grosse non plus. Elle n'est pas moche, mais elle n'est pas top model non plus. Elle n'est pas idiote mais elle dit des bêtises. Elle n'est pas folle mais elle fait des bêtises. Bref, c'est une fille comme les autres et qui, comme les autres, se demande si elle n'est pas différente. Une jeune femme prétendument ordinaire. Un matin, elle part de chez elle rejoindre l'homme qu'elle vient de rencontrer. Il pleut, elle va s'abriter dans un café et toute sa vie défile dans ses rêveries. Sa vie, autant dire sa vie amoureuse car c'est surtout cela qui préoccupe Cléo depuis l'adolescence : les mecs. Et un mec, elle n'en a pas. Ou plutôt elle en a trop. Pourquoi ça ne marche jamais ? Parce que Cléo est comme ça : amoureuse d'un homme, puis d'un autre, toujours à l'écoute de ses désirs et à la recherche du prince charmant. Et si, ce matin, elle partait rejoindre le bon ? Grâce à ses inventions visuelles, Fred Bernard transforme la vie intime de Cléo en tourbillon graphique. Une vie intime qui en dit beaucoup sur notre époque puisque rien n'est inventé dans cette histoire : les propos ont été entendus, les situations ont été vues ou vécues. Bref, Cléo n'existe pas et tout n'est pas arrivé à la même personne, mais tout est vrai !
-
« A tout à l'heure mon petit chat », lance gaiement un père à sa fillette de neuf ans, qui ne le reverra jamais. Un mystère tombe et ne quittera plus la narratrice : la mort. Alors que les adultes font entendre leurs sanglots, un étrange silence se fait en elle, celui du bruit des clefs que son père lançait à l'entrée de la maison. Sans ce tintement familier qui rythmait l'enfance, il faudra donc faire résonner dans la vie une autre musique... Anne invente la sienne, discrète et entêtée, à mesure que se succèdent les disparitions. Elle relève le défi qui lui est lancé, regarde le passé de toute une famille éteinte droit dans les yeux, apprend comment les siens ont été broyés par la Shoah et découvre, dans le même temps, la force de son legs. De la merveilleuse imprimerie de l'oncle Léon, située passage de l'Espoir, rien n'a été sauvé de la barbarie nazie... Sauf, peut-être, l'éternité de l'espoir. Libre d'être seule, solitaire dans l'exercice de cette liberté, Anne peut retrouver une enfance idéale dans ce que son père a créé : les aventures d'un Gaulois, les facéties d'un écolier prénommé Nicolas, et l'affection immense que portent à ces personnages des millions de lecteurs dont les yeux pétillent dès qu'ils voient apparaître sur une couverture le nom du père d'Anne - ce nom qui est aussi le sien, Goscinny. Mais pour se le réapproprier pleinement, encore faut-il bâtir une passerelle vers un imaginaire plus intime, cristallisé en un lieu dérobé, là ou se recueillent les quelques souvenirs fragiles d'un amour fou entre père et fille. Ce sont ces images-là, nichées dans le secret de sa mémoire, que l'auteur rassemble dans une quête fondamentale, avec l'aide de tous les pères de substitution qui l'ont suivie pas à pas.