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Détails produits
Rayons : Bandes dessinées / Comics / Mangas > Bandes dessinées > Ados / Adultes
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Auteur(s)
Jean-pierre Mourey, Leo Perutz
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Éditeur
Impressions Nouvelles
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Distributeur
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Date de parution
23/05/2013
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Collection
Traverses
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EAN
9782874491665
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Disponibilité
Indisponible
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Nombre de pages
144 Pages
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Longueur
26 cm
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Largeur
19 cm
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Épaisseur
1.4 cm
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Poids
676 g
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Support principal
Grand format
Infos supplémentaires : Relié
Biographie
Jean-Pierre Mourey
Jean Pierre Mourey a étudié les Arts plastiques et l'histoire de l'Art à l'Université de Strasbourg, puis la bande dessinée à l'Ecole Supérieure de l'Image d'Angoulême. Adolfo Bioy Casares (1914-1999) est l'un des plus grands noms de la littérature argentine du XXe siècle. Il est l'auteur de huit romans et d'un grand nombre de nouvelles. Il fut grand ami de Borges, qui rédigea en 1940 la mémorable préface de son premier roman, L'Invention de Morel, où il qualifiait l'œuvre de " parfaite ". Une œuvre qui n'a, depuis, jamais cessé d'être rééditée, inspirant de très nombreuses créations artistiques dont le film L'Année dernière à Marienbad d'Alain Resnais et Alain Robbe-Grillet.
Leo Perutz
- Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Leo_Perutz
- Naissance : 2-11-1882
- Décès :27-8-1957 (Mort il y a 67 ans à l'âge de 75 ans)
Léo Perutz est né à Prague en 1882. Il quitte la Bohème à l'âge de 17 ans pour Vienne où il étudie les mathématiques et la littérature. Il s'intéresse à la théorie des jeux de hasard et commence par travailler dans une compagnie d'assurances. Il est appelé au combat pendant la Première Guerre mondiale, au cours de laquelle il est blessé. De retour à Vienne, il publie son premier ouvrage, La Troisième balle, et entreprend de nombreux voyages. C'est en 1918 que paraît Le Tour du cadran, son troisième roman. En 1933, La Neige de Saint Pierre est interdit par les nazis. Il quitte l'Autriche pour la Palestine en 1938, au moment de l'Anschluss. Borges contribue à le sauver de l'oubli en préfaçant trois de ses livres pendant la Seconde Guerre mondiale. Léo Perutz meurt en 1957. En 1962, à l'initiative de Jean Paulhan et Roger Caillois il reçoit, à titre posthume, le Prix Nocturne créé par Roland Stagliati, un des contributeurs de la revue Fiction.